Associations avec le mot «Console»

Wiktionnaire

CONSOLE, nom. (Architecture) Pièce saillante qui sert à soutenir une corniche, un balcon, etc. Consiste en une pièce encastrée dans une paroi, servant de support.
CONSOLE, nom. (Charpenterie) About d’une poutre en porte-à-faux au-delà de son point d’appui.
CONSOLE, nom. (Par analogie) (Mobilier) Meuble appuyé contre un mur, qui sert à orner les appartements et sur lequel on pose des bronzes, une pendule, des vases, etc.
CONSOLE, nom. (Musique) Partie supérieure de la harpe à laquelle se tiennent les chevilles.
CONSOLE, nom. (Par ellipse) (Jeux vidéo) Console de jeu, appareil électronique destiné à jouer à des jeux vidéo.
CONSOLE, nom. (Électronique) Interface physique permettant le contrôle d’un système électronique.
CONSOLE, nom. (Programmation informatique) Interface textuelle d’un système que l’on exploite à l’aide de commandes alignées.
CONSOLE, nom. (Chemin de fer) Morceaux de bois carrés enchâssés sur le lisoir de devant d'un wagon pour en supporter la coquille. Le terme a été emprunté au vocabulaire des charrons
CONSOLE, verbe. Première personne du singulier de l’indicatif présent de consoler.
CONSOLE, verbe. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de consoler.
CONSOLE, verbe. Première personne du singulier du subjonctif présent de consoler.
CONSOLE, verbe. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de consoler.
CONSOLE, verbe. Deuxième personne du singulier de l’impératif de consoler.
CONSOLÉ, verbe. Participe passé masculin singulier de consoler.
CONSOLE DE JEU, nom. Appareil électronique destiné à exécuter des jeux vidéo en utilisant éventuellement des périphériques, tels que des manettes pour le contrôle et un écran pour le rendu.

Sages paroles

Le mot doit faire naître l'idée ; l'idée doit peindre le fait : ce sont trois empreintes d'un même cachet ; et, comme ce sont les mots qui conservent les idées et qui les transmettent, il en résulte qu'on ne peut perfectionner le langage sans perfectionner la science, ni la science sans le langage.
Antoine-Laurent de Lavoisier