Associations avec le mot «Profond»
Nom
- Révérence
- Soupir
- Obscurité
- Rêverie
- Sommeil
- Mélancolie
- Forage
- Stupéfaction
- Ravin
- Tristesse
- Aversion
- Méditation
- Bouleversement
- Coma
- Lagon
- Affliction
- Plonge
- Plongée
- Silence
- Gouffre
- Vénération
- Puits
- Limbe
- Dégoût
- Sillon
- Précipice
- Fossé
- Abîme
- Excavation
- Gratitude
- Gémissement
- Conviction
- Attachement
- Canyon
- Humilité
- Mépris
- Poussa
- Émotion
- Dédain
- Désarroi
- Stupeur
- Cicatrice
- Étonnement
- Désaccord
- Mutation
- Chenal
- Dépression
- Respect
- Cavité
- Profondeur
- Érudition
- Sédiment
- Stimulation
- Affection
- Fjord
- Récif
- Embrasure
- Admiration
- Ressentiment
- Remaniement
- Antre
- Nappe
- Solitude
- Ténèbres
- Chagrin
- Plaie
- Sentiment
- Déchirure
- Empreinte
- Aspiration
- Ignorance
- Intuition
- Gorge
- Impression
- Immensité
- Fosse
- Désespoir
- Respiration
- Douve
Wiktionnaire
PROFOND, adjectif. Qui a une cavité considérable ; dont le fond est éloigné de la surface, de l’ouverture, du bord, etc.
PROFOND, adjectif. (En particulier) (Agriculture) Qui plonge très loin dans la terre.
PROFOND, adjectif. (En particulier) (Anatomie) Qualifie les muscles situés plus loin sous la peau que les autres.
PROFOND, adjectif. (En particulier) Qualifie une blessure, une plaie qui pénètre fort avant dans les chairs.
PROFOND, adjectif. Qui se prolonge, s’étend loin en arrière.
PROFOND, adjectif. Qualifie une salutation, une révérence, une inclination faite en se courbant extrêmement bas.
PROFOND, adjectif. (Figuré) Qui est difficile à pénétrer, à connaître.
PROFOND, adjectif. Qui pénètre fort avant dans la connaissance des choses.
PROFOND, adjectif. (Par extension) Qui met beaucoup de réflexion et de calcul dans ses desseins.
PROFOND, adjectif. Qui est grand ou extrême dans son genre, en parlant tant des choses physiques que des choses morales.
PROFOND, adjectif. (Spécialement) Qualifie la réalité d’un isolement de la fréquentation, du commerce des hommes.
PROFOND, nom. (Soutenu) Profondeur.
Sages paroles
La plupart des gens ne font pas attention. Ils voient les mots comme des rocs, de grands objets impossibles à déplacer et sans vie, des nomades qui ne changent jamais.