Associations avec le mot «Chronique»
Nom
- Patient
- Pesticide
- Historiographie
- Alcoolique
- Inter
- Pénurie
- Cardiaque
- Assyrie
- Règne
- Digestif
- Liber
- Délirant
- Délire
- Anonyme
- Dose
- Pollution
- Paralysie
- Romanesque
- Borel
- Décentralisation
- Prosper
- Rédaction
- Dépression
- Endettement
- Oculaire
- Altération
- Pronostic
- Contamination
- Aragonais
- Irritation
- Émission
- Intermittent
- Satirique
- Croisade
- Antécédent
- Récidive
- Antibiotique
- Incapacité
- Fougères
- Moldavie
- Dreyfus
- Cancer
- Syrien
- Alphonse
- Polluant
- Métabolisme
- Stimulation
- Mérovingien
- Thérapeutique
- Journal
- Cartulaire
- Ghetto
- Littéraire
- Survenue
- Anticorps
- Anomalie
- Antioche
- Éditorial
- Compilateur
- Tell
- Douleur
- Patriarche
- Télé
- Traitement
- Vénérable
- Vih
- Yann
- Diagnostic
- Démence
- Rentrée
- Anxiété
- Supplément
- Séquelle
Adjectif
Adverbe
Wiktionnaire
CHRONIQUE, adjectif. (Médecine) Qui dure longtemps.
CHRONIQUE, adjectif. (En particulier) Qualifie une maladie dont les symptômes ne se développent qu’avec lenteur ; qualifie une maladie permanente.
CHRONIQUE, adjectif. (En particulier) Qualifie une thérapie sur le long terme.
CHRONIQUE, nom. Personne atteinte d’une maladie chronique.
CHRONIQUE, nom. Histoire rédigée suivant l’ordre des temps.
CHRONIQUE, nom. Rubrique du journal où l’on passe en revue les nouvelles du temps présent.
CHRONIQUE, nom. (Par extension) Nouvelles fausses ou vraies répandues sur les personnes de tel ou tel lieu.
CHRONIQUE, verbe. Première personne du singulier de l’indicatif présent de chroniquer.
CHRONIQUE, verbe. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de chroniquer.
CHRONIQUE, verbe. Première personne du singulier du subjonctif présent de chroniquer.
CHRONIQUE, verbe. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de chroniquer.
CHRONIQUE, verbe. Deuxième personne du singulier de l’impératif de chroniquer.
CHRONIQUÉ, verbe. Participe passé masculin singulier du verbe chroniquer.
Sages paroles
J'ai une certaine tendresse pour tous ces beaux mots que je vois ainsi mourir, opprimés par la tyrannie de l'usage qui ne nous en donne point d'autres en leur place.