Associations avec le mot «Étoffe»
Nom
- Nuque
- Paon
- Filature
- Indigo
- Fauteuil
- Bouton
- Raie
- Daim
- Fil
- Philip
- Chanvre
- Lé
- Chasteté
- Boiserie
- Poil
- Épingle
- Parure
- Teint
- Poitrine
- Élégance
- Cachemire
- Chaise
- Lisière
- Épaule
- Gris
- Aiguille
- Gant
- Mante
- Frémissement
- Genou
- Sphinx
- Contour
- Étui
- Tresse
- Reliure
- Voile
- Brun
- Vitalité
- Cordon
- Violet
- Chaussette
- Vase
- Souplesse
- Éventail
- Mouchoir
- Calotte
- Fourrure
- Mat
- Hanche
- Couture
- Marron
- Paille
- Doré
- Cheveu
- Estrade
- Manche
- Couleur
- Canapé
Verbe
Wiktionnaire
ÉTOFFE, nom. (Textile) Tissu de soie, de laine, de coton, etc., dont on fait des habits, dont on recouvre des meubles, etc.
ÉTOFFE, nom. (Figuré) Qualité, nature intrinsèque d’une chose.
ÉTOFFE, nom. (Figuré) Potentiel de capacités.
ÉTOFFE, nom. (Typographie) (Au pluriel) (Vieilli) Ce que l’imprimeur faisait payer, à raison de tant pour cent, au-delà des frais d’impression, afin de se couvrir des dépenses qui entrent dans ses frais généraux.
ÉTOFFE, nom. (Marine) Ensemble des matériaux utilisés pour la construction d'un navire.
ÉTOFFE, nom. (Technique) Union de plusieurs feuilles d'acier superposées et forgées ensemble, en vue de la fabrication par les taillandiers d'instruments tranchants.
ÉTOFFE, nom. Nom donné à l'or ou l'argent qui peuvent entrer dans la fabrication de certains rubans.
ÉTOFFE, nom. (Tanneur) nom donné à la solution d'alun dans laquelle on trempe les peaux à tanner.
ÉTOFFE, verbe. Première personne du singulier du présent de l’indicatif de étoffer.
ÉTOFFE, verbe. Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de étoffer.
ÉTOFFE, verbe. Première personne du singulier du présent du subjonctif de étoffer.
ÉTOFFE, verbe. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de étoffer.
ÉTOFFE, verbe. Deuxième personne du singulier de l’impératif de étoffer.
ÉTOFFÉ, adjectif. Qui a du volume, de l'ampleur, des formes amples.
ÉTOFFÉ, verbe. Participe passé masculin singulier du verbe étoffer.
Sages paroles
J'ai une certaine tendresse pour tous ces beaux mots que je vois ainsi mourir, opprimés par la tyrannie de l'usage qui ne nous en donne point d'autres en leur place.